VACCINATION et médecine chinoise (mon combat contre la vaccination obligatoire). La vaccination antivariolique a tué des millions d'enfants depuis du XIX° siècle
Pourquoi s'intéresser à la médecine chinoise devient vital ? Vaccination et médecine chinoise Par Patrick Ledrappier
On me demande souvent ce qui motive mon combat contre la vaccination obligatoire.
 
Je réponds généralement que c'est une question de principe et de respect des droits fondamentaux de tout être humain : aucun traitement médical, préventif ou curatif, ne peut être imposé à un être humain sans son accord « éclairé » ou sans celui de ses parents lorsqu'il s'agit d'enfants mineurs.
 
Pourtant, et bien que cela soit également vrai, ce n'est ni la seule, ni la principale raison.
 
Je mène surtout ce combat, car la vaccination antivariolique a failli m'emporter, comme elle a sans doute tué des millions d'enfants depuis du XIX° siècle.
 
La vaccination a tué par le passé et elle tue encore aujourd'hui. C'est le cas aux Philippines, comme j'ai pu le constater sur place en discutant avec des parents des plus de 150 enfants décédés à cause du vaccin français contre la dengue.
 
Ce « vaccin », qui ne protège de rien, a été imposé aux familles grâce à la corruption orchestrée par SANOFI PASTEUR, et les plus hauts sommets de l'État français d'alors, avec les autorités sanitaires de Manille (l'ancienne ministre de la Santé philippine est poursuivie pour corruption à ce sujet).
 
François Hollande est surnommé à Manille « Le tueur d'enfants », et trois responsables de SANOFI PASTEUR qui travaillaient sur place seraient en fuite après avoir quitté précipitamment le pays alors qu'ils étaient convoqués en justice.
 
L'histoire de ce vaccin mériterait à elle seule plusieurs lettres, car c'est le premier « vaccin » officiellement recommandé par l'OMS à l'intention des individus déjà immunisés, c'est-à-dire qui ont déjà été en contact avec le flavivirus de la dengue et qu'ils sont protégés selon la propre théorie vaccinale ventée par les vendeurs de vaccins et leurs obligés.
 
La vaccination permettrait de nous « immuniser » contre les dangereux virus et ainsi de nous sauver la vie...
 
L'immunologie nous apprend, en résumé, que lorsque notre organisme est en contact avec un virus pour la première fois, notre système immunitaire produit des anticorps afin de détruire ce virus. Toutefois, parfois, cette production n'est pas suffisamment rapide pour assurer la défense de notre corps.
 
Le principe vaccinal repose sur l'idée qu'il est possible d'éduquer le système immunitaire en lui présentant ledit virus, mais « atténué », car cultivé sur des cellules humaines ou animales pendant X temps afin qu'il ait perdu de sa virulence en se répliquant indéfiniment.
 
Ainsi, lorsqu'un individu est en contact avec un virus pour la première fois, que ce soit naturellement ou grâce à la vaccination, il est, selon la « théorie » vaccinale, « immunisé », c'est-à-dire que son corps saura désormais se débarrasser de ce virus avant qu'il n'occasionne des troubles physiologiques.
 
Pour en revenir à la dengue et à son pseudo « vaccin » tueurs d'enfants, l'OMS, constatant que ce vaccin est dangereux chez les enfants qui n'ont pas encore été en contact avec le flavivirus, et qui ne sont donc pas immunisé, recommande son utilisation que chez les individus ayant déjà été en contact avec le flavivirus et qui sont donc, selon la théorie vaccinale, immunisés. 
 
Cette supercherie vaccinale mise en oeuvre par les « experts » de l'OMS, ne semble pas déranger les différentes autorités sanitaires étatiques qui préfèrent protéger les bénéfices des actionnaires millionnaires de l'industrie pharmaceutique plutôt que de protéger la santé des enfants.
 
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Et pour la médecine chinoise, qu'est-ce que la vaccination, me demande-t-on également souvent.
 
Pour la médecine chinoise, la chose est simple : les vaccins sont aberration médicale et physiologique, car ils ne peuvent être que pathogènes, c'est-à-dire provoquer des maladies.
 
D'ailleurs, à ce sujet, et contrairement à ce que l'on peut lire parfois, la médecine chinoise n'a jamais recommandé ou testé la vaccination.
 
Pourquoi les vaccins ne peuvent être que « pathogènes » et « dangereux » pour la médecine chinoise ?
 
Il y a trois raisons principales à cela.
 
La première est le fruit de l'observation des effets des vaccins chez les enfants et les adultes, qu'ils soient perceptibles ou quasi imperceptibles juste après la vaccination, ou qu'ils apparaissent sous une forme ou une autre quelque temps après.
 
Les effets pathogènes des vaccins réapparaissent régulièrement au cours de l'existence, que ce soit sous des formes bénignes, comme de simples rougeurs cutanées, des états allergiques plus ou moins prononcés, des crises d'asthme ou encore des formes bien plus graves et dont la liste s'allonge au fur et à mesure que s'allonge celles des vaccins infligés aux enfants ou aux adultes : asthme et toux chroniques, lésions cérébrales, autisme, ou encore une des nombreuses maladies auto-immunes qui frappent de plus en plus de personnes, enfants comme adultes, tout comme certaines leucémies.
 
La deuxième raison s'appelle « Chaleur Latente ».
 
La deuxième raison est qu'ils génèrent un phénomène physiopathologique appelé en médecine chinoise : la Chaleur latente.
 
Pour comprendre ce que cela signifie, il faut savoir que les phénomènes de « Chaleur » qui apparaissent dans l'organisme sont toujours « pathologiques » en médecine chinoise. Ils signent la présence de ce que nous appelons un déséquilibre, ou encore une dysharmonie, entre deux « énergies » vitales qui nous permettent d'exister. Ce que le public occidental connaît généralement sous les vocables de Yin et de Yang. 
 
La troisième raison s'explique grâce à la théorie médicale chinoise appelée « Théorie des Quatre Couches » qui concerne essentiellement les maladies appelées de « type Chaleur » en médecine chinoise.
 
Elle tient au fait qu'un agent « pathogène externe » est directement injecté dans ce qui est appelé la Couche du Sang dans la théorie des Quatre Couches.
 
Cette théorie est énoncée par le célèbre Ye Tian Shi (1667-1746), spécialiste des maladies de type Chaleur. Elle est le fruit de l'observation des réactions de notre organisme face aux « agressions » des « facteurs pathogènes externes », en particulier ceux qui génèrent de la Chaleur dans le corps.
 
Ces « facteurs pathogènes externes » sont composés des facteurs climatiques (le vent, le froid, la chaleur, la sécheresse et l'humidité) qui provoquent différentes maladies qui peuvent toutes générer de la Chaleur lorsqu'ils sont excessifs.
 
À ces facteurs climatiques, s'adjoignent les « microbes » (identifiés plusieurs siècles av. J.-C. en médecine chinoise), qui sont essentiellement les différentes espèces de virus et de bactéries répertoriées en microbiologie occidentale par les virologues et les bactériologues.
 
Cette théorie décrit la manière dont ces facteurs pathogènes externes pénètrent dans notre organisme en tentant de franchir quatre « Couches » différentes, tout en se modifiant et en étant combattus au passage de chacune d'elles.
 
Ces Couches vont de la couche du « Qi Protecteur », ou Weiqi qui assure notre première ligne de défense à la superficie du corps, à celle du « Qi » (dont il est dit que « personne ne meurt » lorsque les maladies sont à son niveau bien qu'elles affectent nos organes), qui précède celle du « Qi Nourricier », ou Yingqi qui précède elle-même celle du Sang, Xue.
 
La Couche du Sang est à la fois la plus profonde dans l'organisme et celle où les facteurs pathogènes externes font le plus de dégâts, même s'ils ont été considérablement affaiblis lors de leur passage dans les Couches précédentes.
 
Lorsqu'ils ne sont pas stoppés dans les Couches qui précèdent celle du Sang, les facteurs pathogènes lèsent le Sang, ce qui génère diverses pathologies dont certaines peuvent être rapidement mortelles.
 
La vaccination et la « Couche du Sang » en médecine chinoise.
 
Pour la médecine chinoise, un vaccin, quoi qu'il contienne, est un « facteur pathogène externe » qui a la particularité de pénétrer immédiatement la Couche du Sang sans être combattu à l'occasion d'une progression dans les trois Couches qui la précèdent (un facteur pathogène externe est normalement combattu tout au long de la progression qui le mène de la Couche superficielle, celle de Weiqi, à la Couche du Sang).
 
Autre particularité, ce « facteur pathogène » reste « caché » dans cette couche du Sang où il va se transformer de temps à autre en « Chaleur Latente » qui accompagne généralement les pathologies que nous avons déjà énoncées.
 
Cette Chaleur Latente provoque des troubles pathologiques qui peuvent apparaître dans les secondes qui suivent la vaccination ou des années, voir des décennies après (en fait, la Chaleur Latente s'exprime manifestement régulièrement, mais ces effets peuvent mettre du temps avant de pouvoir être observés).
 
Il faut comprendre que lorsque l'on parle de « Chaleur Latente » on parle d'un processus physiopathologique qui peut ne jamais disparaître du corps (ce n'est pas parce que la Chaleur Latente s'exprime en provoquant par exemple une allergie qu'elle est consumée et qu'elle ne s'exprimera plus de nouveau, y compris sous une autre forme pathologique).
 
En résumé, pour la médecine chinoise, loin de protéger contre les maladies, les vaccins favorisent leurs survenues au cours de la vie, car ils sont à l'origine d'une Chaleur Latente qui surgit de temps à autre et provoque des effets pathologiques que l'on sait.
 
L'inclusion des vaccins dans les facteurs pathogènes externes et dans la théorie des Quatre Couches est une chose fréquente chez les spécialistes de médecine chinoise que j'ai rencontrés à Bejing, Taïwan, Hong-Kong ou encore à Sydney.
 
C'est également ce que fait Giovanni Maciocia, professeur honoraire de l'Université de médecine chinoise de Nanjing, et auteur de nombreux ouvrages de médecine chinoise qui font autorité.
 
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Pour lire un excellent article sur la vaccination anti-rougeole publié sur le site de l'AIMSIB, cliquez sur :
 
 
La lecture des nombreux commentaires est parfois décevante tant on s'aperçoit que de nombreux « spécialistes » pensent encore qu'une vaccination peut être utile à la santé individuelle ou collective.
 
Les partisans de cette thèse citent des liens censés présenter des études dont on aimerait savoir s'ils ont eu accès aux données brutes, ce dont nous doutons fortement.
 
Rappelons que :
 
85% des résultats de recherche scientifique sont inutilisables, car peu fiables. Actuellement, de nombreux résultats de recherche publiés sont faux ou exagérés (John P. A. Ioannidis METRICS Institut Stanford University. Publié dans Plos medicine 2014).
 
(85% of research resources are wasted. Currently, many published research findings are false or exaggerated (John P. A. Ioannidis METRICS Institute Stanford University. Published in Plos medicine 2014))
 
 
Cancer : 90% de 53 études importantes et publiées n'étaient pas reproductibles. Les scientifiques d'Amgen n'ont pas pu reproduire les résultats de 53 articles « historiques (landmark) » dans la recherche sur le cancer (C. Glenn Begley ex Amgen. Publié dans Nature, 2012).
 
(90% of 53 studies were not reproducible. Amgen's scientists couldn't reproduce the findings of 53 “landmark” articles in cancer research (C. Glenn Begley ex Amgen. Published in Nature, 2012)).
 
 
79% de 67 projets n'ont pas pu être validés par Bayer.  Les scientifiques de l'industriel ont vainement tenté de reproduire les résultats de 67 projets d'études en oncologie, santé et médecine cardiovasculaire. (Florian Prinz, Thomas Schlange et Khusru Asadullah Reu Bayer. Publié dans Nature discovery 2011).
 
(79% of 67 projects were not reproduced by Bayer's scientists trying to reproduce the findings of 67 target-validation projects in oncology, women's health, and cardiovascular medicine. (Florian Prinz, Thomas Schlange and Khusru Asadullah Reu Bayer. Published in Nature discovery 2011))
 
 
 
 
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Variole : pour en savoir plus : L'arnaque du siècle aux (millions ?) de morts : la vaccination antivariolique !
 
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De l'art ancestral de soigner à la médecine chinoise.
 
 
L'art ancestral de soigner
 
Les historiens pensent que « l'art de soigner ancestral chinois » comprenait des sacrifices, vraisemblablement humains dans une période très ancienne, avant et au début des Xia (2100 - 1600 av. J.-C.), pour ensuite être seulement des sacrifices rituels d'animaux.
 
C'est vers la fin des Xia (1600 av. J.-C.), que semblent être apparus des rudiments de diététique, d'herboristerie, de massages, de chants incantatoires et d'utilisation d'arêtes et d'os pointus pour piquer là « où cela fait mal », ce qui donnera l'acupuncture.
 
Ces différentes techniques empiriques se mêlaient à des interventions de sorciers, de chamans et autres guérisseurs qui, à l'aide de talismans, de drogues et breuvages divers, invoquaient des puissances numineuses (dieux, esprits, etc.)
 
Parmi ces puissances invisibles, il y avait les « ancêtres » dont les esprits bienveillants ou malfaisants restaient actifs dans le cercle familial ou dans la communauté après leur mort. La puissance de ces esprits était importante et il était considéré qu'ils pouvaient interférer aussi bien sur le devenir social d'un individu que sur sa santé.
 
Cela donna naissance au « Culte des ancêtres », dont on peut voir encore de nos jours des vestiges aux pieds de certains immeubles ou boutiques en Asie ou dans les quartiers asiatiques des villes occidentales, avec ces petits hôtels chargés d'offrandes diverses et de bâtons d'encens qui se consument.
 
  
De l'art ancestral de soigner à la médecine chinoise 
 
Aux alentours du III° siècle av. J.-C., l'art de soigner ancestral se transforme en « médecine », discipline scientifique chinoise qui concerne tout aussi bien les soins apportés aux malades, que la prévention des maladies, l'hygiène, la sexualité sans oublier la longévité de l'existence.
 
Il est très difficile de déterminer avec précision à partir de quand cette intégration, scientifique progressive, s'opère dans l'art de soigner ancestral chinois, XV°, XI°, VIII° ou plus vraisemblablement à partir du VI° siècles av. J.-C. ?
 
Ce que l'on sait, c'est qu'aux alentours du III° siècle av. J.-C., l'art de soigner ancestral disparaît des éventails de soins des classes sociales supérieures en Chine, la noblesse chinoise, et qu'il est remplacé par la « médecine », une discipline scientifique qui est soumise aux lois naturelles, vues et comprises par des intellectuels et penseurs chinois entre VIII° et le I° siècle av. J.-C.
 
 
 
III° siècle av. J.-C., naissance officielle de la médecine chinoise ?
 
Ce que l'on peut dire, d'après les travaux de différents historiens, dont ceux de Paul Ulrich Unschuld, c'est que la médecine chinoise apparaît dès cette époque, comme une discipline qui théorise la physiologie humaine, les maladies et leur apparition ainsi que les soins à prodiguer aux malades, d'après des logiques rationnelles de causalités d'un phénomène à un autre, qu'expliquent les seules lois naturelles auxquelles tous doivent se soumettre pour le bien de la communauté, y compris l'empereur.
 
Toutefois, même si les textes retrouvés à la fin du XX° siècle dans différents tombeaux, dont ceux de Mawangdui, datent d'entre 200 et 100 ans av. J.-C., ces nouvelles compréhensions des maladies et de leur guérison, qui sont de véritables bouleversements intellectuels, s'élaborent dès le début de l'époque des Royaumes combattants (475 à 221 av. J.-C.), voire lors de la période des Printemps - Automnes (722 à 476 av. J.-C.).
 
 
Et la médecine occidentale ?
 
En Occident également, un « Art de soigner ancestral » précéda la survenue d'une médecine fondée sur des principes scientifiques, cela se produisit à partir du V° siècle av. J.-C.
 
À ce sujet, il est habituel de considérer que les prémisses des sciences modernes naissent dans la Grèce antique, qui comprenait alors une grande partie de celle que nous connaissons aujourd'hui ainsi que la quasi-totalité du pourtour de la mer Égée et de ses îles.
 
Pour les Grecs, avec Thalès, Anaximandre, Anaximène et Empédocle (entre le VII° et le V° siècle av. J.-C.), on s'intéresse principalement à la décomposition des phénomènes afin de les observer et de les comprendre d'après ce qui les constitue matériellement, d'après les matières premières qui sont en jeu.
 
Ainsi, les Grecs ne parleront pas des « Mouvements » comme le feront les Chinois plus tard, mais des « Eléments ». il faut entendre par « éléments » la matière qui constitue les choses visibles, ce que les physiciens occidentaux appellerons « atomes » au XIX° siècle.
 
À ce sujet, aux origines de ce qui deviendra les sciences modernes occidentales, il y eut en Ionie Thalès de Millet (625 - 547 av. J.-C), qu'Aristote (384-322 av. J.-C.), dépeint comme le premier philosophe grec.
 
Après avoir observé les résultats d'une inondation sur les végétaux en Égypte, Thalès de Millet déclara vers l'an 580 av. J.-C., que « toute vie a pour base l'eau » (précisons qu'avec cette affirmation, Thalès passe pour être le fondateur de l'histoire scientifique européenne, ce qui semble tout de même un peu léger).
 
Anaximandre (620 - 546 av. J.-C.) n'était pas d'accord avec lui et, vers l'an 560 av. J.-C., il parla d'une substance indéfinie, l'apeiron, comme étant à l'origine de tous les éléments.
 
Anaximène (585 - 525 av. J.-C.), ne croyait ni en l'eau ni en l'apeiron et proposa vers 546 av. J.-C., l'air.
 
Eau, apeiron, air. Nous sommes loin des subtiles et complexes énergies découvertes par les chinois à la même époque, et qui régentent l'univers. Ce qui sera formuler par « Qi », « Loi des Cinq Mouvements », « Yin-Yang ».
 
 
 
Il y a des différences fondamentales entre la compréhension des phénomènes naturels retenue par les Chinois et les Grecs lors de ces périodes.
 
 
 En effet, lorsque l'on parle de lois naturelles, on parle de celles qui vont nous permettre de faire naviguer des « villes flottantes », ces gigantesques paquebots à touristes, sur les mers et les océans, de faire rouler des trains sur des rails à 600 km /h, de positionner en orbite terrestre la Station spatiale internationale ou encore de détruire l'humanité avec l'armement nucléaire.
 
On parle de tout ce que les développements technologiques de ces lois permettront d'inventer en occident à partir de la Renaissance et de l'arrivée du capitalisme mercantile.
 
Joseph Needham (1900-1995), un biochimiste et sinologue qui devint expert de renommée mondiale en histoire des sciences et techniques chinoises, considérait que plus d'une centaine d'inventions majeures (imprimerie, boussole, extraction de gaz à plus de 600 mètres de profondeur, etc.) avaient été découvertes en Chine jusqu'à 1500 ans plus tôt qu'en Occident à la Renaissance.
 
Il suggère, pour ne pas dire « il affirme », que les « inventions » européennes de la Renaissance ne sont que des copies de ce qui a été inventé en Chine avant Jésus-Christ.
 
 
 
Tout ce qui compose l'univers est en relation. 
 
Les penseurs chinois des périodes préimpériales classiques (avant 221 av. J.-C.), organisent leurs connaissances par catégorisations et mises en corrélations des choses, des êtres et des phénomènes naturels.
 
Cette méthodologie est à l'origine de ce qui est appelé la « Loi des Cinq Mouvements » (et non pas des Cinq Éléments) qui systématise les correspondances qui existent entre tout ce qui existe dans l'univers.
 
 
Le « Qi », ce principe énergétique unificateur et universel qui nous vient de Chine.
 
Pour les scientifiques chinois de l'époque, ce sont ces « correspondances », ces « relations », qui participent aux processus universels de transformations de ces mêmes choses, êtres et phénomènes naturels.
 
Ces transformations se réalisent grâce à un mouvement énergétique, également universel, qu'ils ont appelé le « Qi » et qui lie énergie et matière dans des variations qu'ils ont appelées Yin-Yang, ou, encore, le mouvement Yin-Yang du Qi.
 
Pour la médecine chinoise, cette conceptualisation des lois naturelles ancre définitivement ses grands principes fondamentaux tels qu'on peut les découvrir dans des ouvrages comme le Huangdi Neijing (Suwen et Lingshu) qui est une compilation de textes médicaux réalisée du IV° ou III° av. J.-C. jusqu'au VII° siècle de notre ère, ou encore dans le Shang Han Lun, daté lui du II° siècle.
 
 
 
Les penseurs et scientifiques chinois de ces époques s'intéressent aux processus énergétiques des forces universelles et leurs constats s'inscrivent dans la Loi des Cinq Mouvements. 
 
En médecine, ces scientifiques de l'époque s'intéressent aux effets de ces processus énergétiques sur notre santé et à la manière d'en rétablir les effets positifs lorsque nous tombons malades.
 
Pour eux, lorsque nous tombons malades, c'est qu'un déséquilibre énergétique est intervenu dans le mouvement Yin-Yang du Qi.
 
 Ainsi, la guérison passe par le rééquilibrage de ce mouvement énergétique, on parle alors « d'harmonisation du Yin-Yang ».
 
Ce déséquilibre énergétique peut être dû à des causes externes, comme lorsque les conditions climatiques, des virus et, ou, des bactéries nous rendent malades, ou à des causes internes comme lorsque nos émotions, notre alimentation, notre sexualité ou encore notre vieillissement sont concernés, ou, encore, à une conjugaison de ces différentes causes.
 
La guérison passe évidemment, et ce dès les origines de la médecine chinoise, par le traitement des causes des déséquilibres énergétiques qui rendent malades.
 
 
Des lignes de partage entre deux compréhensions des lois naturelles.
 
« Mouvements » ou « Eléments », « énergie » ou « matière », « substances naturelles » ou « substances chimiques », sont autant de lignes de partage qui se sont creusées au cours de temps entre les sciences naturelles chinoises et occidentales telles qu'elles ont été comprises par deux « civilisations » que beaucoup de choses différencient.
 
Ce sont ces lignes de partage qui nous viennent de plusieurs siècles av. J.-C. qui séparent définitivement la « médecine » occidentale, qui semble s'être donnée corps et âme à l'industrie pharmaceutique chimique dès la fin du XIX° siècle, et la médecine chinoise naturelle, la médecine de l'avenir.
 
 
Changer : une condition sine qua non (sans quoi non), pour ne pas tomber malade ou pour guérir !
 
Pour ne pas tomber malades, nous devons avoir une alimentation qui soit conforme à ce que nous appelons notre « personnalité énergétique » et nous devons également, en permanence, nous adapter aux modifications de notre environnement.
 
Pour cela, il faut savoir changer à temps : par exemple de conditions climatiques, d'alimentation, de relations sociales ou encore de travail.
 
Autre exemple, savoir changer de mode de vie, c'est ce qui peut nous permettre de retarder au maximum notre vieillissement, et c'est l'un des nombreux enseignements de la médecine chinoise.
 
 
 
 
1585 - Leçon de médecine chinoise donnée par Nakata Tokuhon (Japon) 
 
Célèbre médecin de la période Azuchi-Momoyama (1573-1614)
 
 
 
Alors, pourquoi s'intéresser à la médecine chinoise devient vital ? 
 
Vous en saurez plus en visitant quelques pages de notre site :
 
Pour savoir pourquoi la médecine chinoise est la médecine de l'avenir :
 
 
Pour savoir ce que soigne la médecine chinoise :
 
 
Pour connaître la philosophie générale de la médecine chinoise :
 
 
 
 
 
 
 
 
Patrick Ledrappier en avril 2014 à l'hôpital Anzhen de Pékin avec le docteur Liu Xin Qiao lors d'une réunion sur le diabète et la médecine chinoise.
 
Le docteur Liu Xin Qiao est directeur adjoint du service de médecine chinoise de l'hôpital Anzhen de Pékin. Il est le petit-fils du célèbre professeur de médecine chinoise Fang Heqian dont il a été l'étudiant.
 
 
 
La médecine chinoise en résumé.
À partir de la compréhension des lois naturelles par les penseurs chinois de l'époque, et de leur déclinaison dans la Loi des Cinq Mouvements, il été décrit et théorisé la physiologie humaine, la compréhension de ce qu'est l'état de bonne santé, l'état de maladie et l'état de guérison à travers ce qu'il est convenu d'appeler :
 
Le Qi ;
Le YinYang ;
Les théories des causes des maladies ;
La théorie des « Cinq Mouvements » ou des « Cinq Phases » ;
La théorie des « Organes-Entrailles » ;
La théorie des « Méridiens ».
 
Armes thérapeutiques :
 
Le Qigong ;
La diététique ;
Les massages (tuina) ;
La sexualité (n'est plus d'actualité) ;
Le Shiatsu (développé au Japon) ;
La moxibustion ;
L'acupuncture ;
La pharmacopée.
 
 
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